Je sais c'est pas terrible... Mais j'aime bien ce texte...
La première fois que je l'ai vu j'ai cru voir un ange. Cela faisait si longtemps qu'elle me parlait d'elle que je n'avais qu'une envie, la rencontrer enfin. Cette fin d'après midi ou je suis passée rapidement je l'ai enfin vu. Ca n'a été que pendant quelques minutes mais je l'avais vu. Je savais qu'elle n'avait pas une bonne opinion de moi mais je m'en foutais. Je lui prenais un peu sa meilleure amie, il n'y avait aucune raison qu'elle m'apprécie. Mais pour moi c'était différent. On m'avait toujours parlé d'elle comme d'une personne forte, la plus intelligente. Je n'ai pas eut le temps de me faire une opinion la dessus. Tout ce dont je me souviens c'est de l'avoir trouvée belle, extrêmement belle. Le reste j'ai oublié. Je ne sais même pas si elle m'avait adressé la parole.
Mais cela m'importait peu. Tout ce dont je me rappelle encore c'est que son image a continué de me hanter longtemps. Une image lumineuse, celle qui a volé mon cœur. Je ne l'ai pas compris tout de suite, seulement un peu plus tard. Je savais juste que je l'admirais, que je l'enviais. Pour moi elle était le symbole de tout, la beauté, la force, l'amour… Elle était la puissance et la douceur. Je n'y aie pas fais attention. Je ne pensais que rarement à elle, seulement quand j'étais avec celle qui m'a permit de la rencontrer. Mais peu à peu j'avais envie de la revoir. Et j'ai mis cela sur le simple fait que j'appréciais ce qu'on disait d'elle. J'aurais du me méfier, me méfier beaucoup.
Je ne l'ai revue que bien après, elle avait changé. Au lieu d'une fille belle j'ai retrouvé une femme superbe. Dire que j'allais passer trois jour avec celle que mes yeux voyaient comme une déesse. Rien que d'y penser j'en avais des frissons. Car entre temps j'avais découvert qui j'étais, ce que j'étais. Et une telle énergie se dégageait d'elle que je ne pouvais pas la lâcher des yeux. Je me nourrissais des ondes et les siennes me comblaient parfaitement. J'avais l'impression de rêver, elle était celle qui pourrait combler mon manque sans fin d'énergie, je le savais.
Mais je n'osais pas l'approcher, elle m'impressionnait trop. Elle semblait si forte, elle semblait n'avoir besoin de rien. Et surtout pas d'une gamine pour l'emmerder. Car je n'étais qu'une enfant, et c'est toujours le cas. Mais elle a comprit qui j'étais: une personne de la même race qu'elle. Max était notre meilleure amie à toutes les deux. Alors ce choix de la laisser dormir avec son mec fut un choix commun. Je sais désormais qu'elle savait comme moi ce qui allait en découler. Mais je ne l'ai pas comprit tout de suite. Je ne savais pas ce qu'elle était, ou je ne le comprenais pas.
Et puis il y a eut cette première nuit avec elle. C'était une chaude nuit d'août, il était prévue que l'on dorme toutes les deux dans cette tente. Mais elle est comme moi, et on avait aucune envie de dormir. Et nous savions que nous en étions capables. On c'est donc relevées, et nous avons marchées. La discussion était normale, sans confidences. Ce n'est qu'après que l'on ait marchés un peu avec les autres qui se sont finalement recouchés car il n'étaient pas aptes à faire une nuit blanche que ça a commencé.
Nous avons parlées des heures. Elle m'a dit qui elle était, je lui ait dit qui elle était. J'étais selon elle la première à la comprendre. Et elle était la première à vraiment savoir ce que je vivais. Elle était la seule que je connaissais à posséder vraiment les mêmes problèmes que moi. Elle était celle à qui je pourrais me confier, celle qui pourrait me guider. Je crois que j'ai passé les deux jours les plus tranquilles de ma vie. Je pouvais enfin me confier à quelqu'un qui vivait la même horreur que moi. Et son aide n'était pas feinte, elle était la pour moi.
J'ai enfin pu avoir l'aide dont j'avais besoin. Enfin je pouvais comprendre ces changements qui s'opéraient en moi. Elle m'a permit d'apprendre à me protéger un petit peu. Elle m'a aidé à savoir que ce n'était pas une malédiction. Elle m'a expliquée que l'on pouvait s'en servir pour aider les autres, pour mieux comprendre ceux que l'on aime. Grâce à elle j'ai pu accepter ce don, je ne me suis plus braquée contre. Quand elle était à mes côtés, je me sentais mieux. Elle m'aidait à me contrôler et elle me nourrissait de son aura. Ou plus précisément on échangeaient nos énergies.
J'avais trouvée en elle celle qui me permettait de me régénérer. Elle était la seule à qui je ne ferais pas de mal. Elle je ne pourrais pas la tuer car elle aussi me pompait à tout instant. Une connexion a été montée durant ces quelques heures. Une connexion durable qui me rassurait. La sentir à mes côtés à chaque moment était mon plus grand plaisir. Quand je n'étais pas bien il me suffisait de penser à elle. Je pense que c'est alors que j'aurais du me détacher d'elle. J'étais en train de tomber amoureuse et je ne me battais pas contre ça. Ce sentiment que j'éprouvais pour elle était agréable.
La séparation n'a pas été trop dure quand elle a du repartir. Il n'y avait rien entre nous à l'exception d'une amitié solide. Et puis, distance aidant, notre relation c'est consolidée. C'est la raison pour laquelle je l'ai invitée à dormir à la maison. Sans penser que ce serait si magique, juste pour passer du temps avec elle. J'ai passé une soirée et une nuit magique. Elle m'a apprit tout ce que je voulais savoir. J'ai compris alors qu'elle était mon mentor, celle qui me guiderait à vie. Elle m'a fait comprendre ce qu'elle voulait. Je crois que c'est la première fois que je faisais un tel câlin à quelqu'un.
Ce n'était pas la même chose que si j'étais sortie avec elle. Mais presque, je me suis blottie contre elle. Je ne voulais pas la lâcher du tout. Mais je ne pouvais pas la garder auprès de moi. Je n'avais pas de raison pour le faire. Je n'étais rien pour elle, seulement une amie. Alors j'ai profité de cette nuit dans ses bras. Tout en sachant qu'elle n'avait rien à m'offrir. Alors je l'ai attirée à moi en tant que mentor. Cela me donnait une raison pour l'avoir à mes côtés. Et ce même si cette raison n'était pas feinte. C'était une des raisons pour laquelle je voulais qu'elle sois près de moi.
C'est la, quand elle est repartie à Rouen que ça a été dur. Et pour nous deux je pense, car elle m'appelait tous les soirs ou presque. A chaque fois je l'avais au moins une demi heure voir une heure. C'était le seul moment de la journée que j'attendais. Son appel me calmait et me rassurait. A chaque fois c'était un plaisir immense. Je crois que c'est la seule chose qui m'a permit de tenir car je n'allais pas bien. Mais c'était dur, très dur, je ne voulais pas raccrocher à chaque fois. Et les heures suivants ses appels jusqu'au suivant étaient de plus en plus dures. La douleur de la séparation était immense. Et puis à chaque fois elle devait venir. Mais à chaque fois elle ne venait pas. Et à chaque fois je replongeais. Elle n'était pas seulement ma meilleure amie et mon mentor. Elle était surtout celle qui m'accordait son énergie et sa présence à chaque instant.
Mais la distance était trop grande. Et je n'avais plus envie de tenir sans elle. Je n'en voyais pas l'intérêt. Car il n'y avait qu'elle qui me permettait d'apprendre ce dont j'avais besoin pour survivre. Et puis elle est revenue ici. Cette fois pour être dans mon lycée. Plusieurs fois j'ai pleurée car elle différait son arrivée. Elle est toujours la seule à pouvoir me faire pleurer. Mais finalement elle est venue et je me suis sentie la fille la plus heureuse. J'avais enfin à mes côtés celle que je voulais.
Elle m'a aidée jusqu'à ce fameux mercredi ou tout à changé entre nous. Je ne sais pas réellement si je le regrette car j'ai énormément appris. Mais la fin a été douloureuse. C'est elle qui me fait regretter cette histoire. Car je ne peux plus lui parler comme avant. Elle ne me repousse pas tellement. Mais les souvenirs restent et sont tels des fantômes. C'est cela qui est dur. Non pas d'accepter que j'ai perdue. Mais accepter de revenir. Mais je ne peux pas le faire avant qu'elle ne m'ait dit ce qu'elle a sur le cœur. Et je n'y arrive pas… Et ça fait mal…
La première fois que je l'ai vu j'ai cru voir un ange. Cela faisait si longtemps qu'elle me parlait d'elle que je n'avais qu'une envie, la rencontrer enfin. Cette fin d'après midi ou je suis passée rapidement je l'ai enfin vu. Ca n'a été que pendant quelques minutes mais je l'avais vu. Je savais qu'elle n'avait pas une bonne opinion de moi mais je m'en foutais. Je lui prenais un peu sa meilleure amie, il n'y avait aucune raison qu'elle m'apprécie. Mais pour moi c'était différent. On m'avait toujours parlé d'elle comme d'une personne forte, la plus intelligente. Je n'ai pas eut le temps de me faire une opinion la dessus. Tout ce dont je me souviens c'est de l'avoir trouvée belle, extrêmement belle. Le reste j'ai oublié. Je ne sais même pas si elle m'avait adressé la parole.
Mais cela m'importait peu. Tout ce dont je me rappelle encore c'est que son image a continué de me hanter longtemps. Une image lumineuse, celle qui a volé mon cœur. Je ne l'ai pas compris tout de suite, seulement un peu plus tard. Je savais juste que je l'admirais, que je l'enviais. Pour moi elle était le symbole de tout, la beauté, la force, l'amour… Elle était la puissance et la douceur. Je n'y aie pas fais attention. Je ne pensais que rarement à elle, seulement quand j'étais avec celle qui m'a permit de la rencontrer. Mais peu à peu j'avais envie de la revoir. Et j'ai mis cela sur le simple fait que j'appréciais ce qu'on disait d'elle. J'aurais du me méfier, me méfier beaucoup.
Je ne l'ai revue que bien après, elle avait changé. Au lieu d'une fille belle j'ai retrouvé une femme superbe. Dire que j'allais passer trois jour avec celle que mes yeux voyaient comme une déesse. Rien que d'y penser j'en avais des frissons. Car entre temps j'avais découvert qui j'étais, ce que j'étais. Et une telle énergie se dégageait d'elle que je ne pouvais pas la lâcher des yeux. Je me nourrissais des ondes et les siennes me comblaient parfaitement. J'avais l'impression de rêver, elle était celle qui pourrait combler mon manque sans fin d'énergie, je le savais.
Mais je n'osais pas l'approcher, elle m'impressionnait trop. Elle semblait si forte, elle semblait n'avoir besoin de rien. Et surtout pas d'une gamine pour l'emmerder. Car je n'étais qu'une enfant, et c'est toujours le cas. Mais elle a comprit qui j'étais: une personne de la même race qu'elle. Max était notre meilleure amie à toutes les deux. Alors ce choix de la laisser dormir avec son mec fut un choix commun. Je sais désormais qu'elle savait comme moi ce qui allait en découler. Mais je ne l'ai pas comprit tout de suite. Je ne savais pas ce qu'elle était, ou je ne le comprenais pas.
Et puis il y a eut cette première nuit avec elle. C'était une chaude nuit d'août, il était prévue que l'on dorme toutes les deux dans cette tente. Mais elle est comme moi, et on avait aucune envie de dormir. Et nous savions que nous en étions capables. On c'est donc relevées, et nous avons marchées. La discussion était normale, sans confidences. Ce n'est qu'après que l'on ait marchés un peu avec les autres qui se sont finalement recouchés car il n'étaient pas aptes à faire une nuit blanche que ça a commencé.
Nous avons parlées des heures. Elle m'a dit qui elle était, je lui ait dit qui elle était. J'étais selon elle la première à la comprendre. Et elle était la première à vraiment savoir ce que je vivais. Elle était la seule que je connaissais à posséder vraiment les mêmes problèmes que moi. Elle était celle à qui je pourrais me confier, celle qui pourrait me guider. Je crois que j'ai passé les deux jours les plus tranquilles de ma vie. Je pouvais enfin me confier à quelqu'un qui vivait la même horreur que moi. Et son aide n'était pas feinte, elle était la pour moi.
J'ai enfin pu avoir l'aide dont j'avais besoin. Enfin je pouvais comprendre ces changements qui s'opéraient en moi. Elle m'a permit d'apprendre à me protéger un petit peu. Elle m'a aidé à savoir que ce n'était pas une malédiction. Elle m'a expliquée que l'on pouvait s'en servir pour aider les autres, pour mieux comprendre ceux que l'on aime. Grâce à elle j'ai pu accepter ce don, je ne me suis plus braquée contre. Quand elle était à mes côtés, je me sentais mieux. Elle m'aidait à me contrôler et elle me nourrissait de son aura. Ou plus précisément on échangeaient nos énergies.
J'avais trouvée en elle celle qui me permettait de me régénérer. Elle était la seule à qui je ne ferais pas de mal. Elle je ne pourrais pas la tuer car elle aussi me pompait à tout instant. Une connexion a été montée durant ces quelques heures. Une connexion durable qui me rassurait. La sentir à mes côtés à chaque moment était mon plus grand plaisir. Quand je n'étais pas bien il me suffisait de penser à elle. Je pense que c'est alors que j'aurais du me détacher d'elle. J'étais en train de tomber amoureuse et je ne me battais pas contre ça. Ce sentiment que j'éprouvais pour elle était agréable.
La séparation n'a pas été trop dure quand elle a du repartir. Il n'y avait rien entre nous à l'exception d'une amitié solide. Et puis, distance aidant, notre relation c'est consolidée. C'est la raison pour laquelle je l'ai invitée à dormir à la maison. Sans penser que ce serait si magique, juste pour passer du temps avec elle. J'ai passé une soirée et une nuit magique. Elle m'a apprit tout ce que je voulais savoir. J'ai compris alors qu'elle était mon mentor, celle qui me guiderait à vie. Elle m'a fait comprendre ce qu'elle voulait. Je crois que c'est la première fois que je faisais un tel câlin à quelqu'un.
Ce n'était pas la même chose que si j'étais sortie avec elle. Mais presque, je me suis blottie contre elle. Je ne voulais pas la lâcher du tout. Mais je ne pouvais pas la garder auprès de moi. Je n'avais pas de raison pour le faire. Je n'étais rien pour elle, seulement une amie. Alors j'ai profité de cette nuit dans ses bras. Tout en sachant qu'elle n'avait rien à m'offrir. Alors je l'ai attirée à moi en tant que mentor. Cela me donnait une raison pour l'avoir à mes côtés. Et ce même si cette raison n'était pas feinte. C'était une des raisons pour laquelle je voulais qu'elle sois près de moi.
C'est la, quand elle est repartie à Rouen que ça a été dur. Et pour nous deux je pense, car elle m'appelait tous les soirs ou presque. A chaque fois je l'avais au moins une demi heure voir une heure. C'était le seul moment de la journée que j'attendais. Son appel me calmait et me rassurait. A chaque fois c'était un plaisir immense. Je crois que c'est la seule chose qui m'a permit de tenir car je n'allais pas bien. Mais c'était dur, très dur, je ne voulais pas raccrocher à chaque fois. Et les heures suivants ses appels jusqu'au suivant étaient de plus en plus dures. La douleur de la séparation était immense. Et puis à chaque fois elle devait venir. Mais à chaque fois elle ne venait pas. Et à chaque fois je replongeais. Elle n'était pas seulement ma meilleure amie et mon mentor. Elle était surtout celle qui m'accordait son énergie et sa présence à chaque instant.
Mais la distance était trop grande. Et je n'avais plus envie de tenir sans elle. Je n'en voyais pas l'intérêt. Car il n'y avait qu'elle qui me permettait d'apprendre ce dont j'avais besoin pour survivre. Et puis elle est revenue ici. Cette fois pour être dans mon lycée. Plusieurs fois j'ai pleurée car elle différait son arrivée. Elle est toujours la seule à pouvoir me faire pleurer. Mais finalement elle est venue et je me suis sentie la fille la plus heureuse. J'avais enfin à mes côtés celle que je voulais.
Elle m'a aidée jusqu'à ce fameux mercredi ou tout à changé entre nous. Je ne sais pas réellement si je le regrette car j'ai énormément appris. Mais la fin a été douloureuse. C'est elle qui me fait regretter cette histoire. Car je ne peux plus lui parler comme avant. Elle ne me repousse pas tellement. Mais les souvenirs restent et sont tels des fantômes. C'est cela qui est dur. Non pas d'accepter que j'ai perdue. Mais accepter de revenir. Mais je ne peux pas le faire avant qu'elle ne m'ait dit ce qu'elle a sur le cœur. Et je n'y arrive pas… Et ça fait mal…